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           Synopsis :

 

  Jonathan est encore en primaire lorsque les brimades,les insultes, le racket, les coups commencent.On se moque de son physique, de son nom de famille, on le menace, on lui dit qu'on va tuer ses parents. La peur et la honte l'empêchent de parler. Les adultes restent dans l'ignorance ou y voient un simple jeu. Jonathan est seul face à ses bourreaux.

 

Le calvaire qu'il a enduré jusqu'à s'imoler par le feu car la mort lui semblait être la seule solution, d'autres le vivent tous les jours. En France, 14% des enfants ne se sentent pas en sécurité au collège, et 10 % d'entre eux connaissent le harcèlement.

 

Brûlé à 72 %, Jonathan a passé trois mois dans un coma artificiel, a subi dix-sept opérations et souffre de douleurs incessantes. Aujourd'hui, il partage son histoire afin que les victimes osent enfin parler. Et que les adultes ouvrent les yeux.

 

Un témoignage bouleversant pour briser le silence.

      Jonathan Destin.

 

" J'avais 16 ans, je n'en pouvais plus. De l'école, des autres. "

 

C'est la première phrase du premier chapitre du livre Condamné à se tuer  de Jonathan Destin. A force d'insultes, de racket, de violence, Jonathan à essayé de mettre fin à ses jours. 

 

" Ce jour-là, je voulais faire vite. Disparaître en fumée. "

 

" Je ne savais qu'une chose : ma vie était mauvaise, insupportable, et mourir était la solution pour arrêter. "

 

" Je pensais tous les jours au suicide. "

 

" Avec tout ce qui se passait dans l'école, et à côté de l'école, le racket, l'humiliation, pour moi, mourir, ce n'était pas le pire. Mourir était la délivrance. Mourir était devenu ma seule et unique pensée. "

 

" Ils m'ont condamné à me tuer. "

 

" Je veux que mon coeur brûle et m'étouffe. "

 

Marion est une jeune fille de 13 ans. Suite au harcèlement scolaire, elle s'est suicidée le 13 février 2013 en se pendant. Et, à côté d'elle, elle  à également pendu son téléphone, signe symbolique. Nora Fraisse, sa mère, témoingne dans ce livre, Marion, 13 ans pour toujours. Elle exprime ses sentiments, ces impressions, mais aussi ses interrogations.

 

"Je n'imaginais pas, ce soir-là, à quel point tu souffrais."

" [...] pourquoi n'est-elle pas venue se réfugier dans nos bras, si elle souffrait tant ?"

"Tu t'es donné la mort en musique mais, avant, tu as fait taire ton téléphone à jamais."

" [...] l'un ou l'une d'entre eux t'a jeté à la veille de ta mort, alors que tu étais en plein désarroi, cette injonction épouvantable : << Va te pendre, il y aura une personne en moins demain ! >> "

 

Dans sa lettre de suicide, Marion écrit : "Ok, je n'ai pas réussi à dire tout ce que j'avais sur le coeur, mais maintenant je le fais, même si mon coeur ne bat plus..."

Si vous voulez nous parlez, n'hésitez pas à envoyer un mail à cette adresse, nous vous répondrons au plus vite : 

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